Labellisés agriculture biologique

Nos vergers : Noyers et Châtaigniers

Constituée de 12 ha de surface agricole utile, la ferme familiale que nous avons reprise en 1999, accueillait un petit troupeau de vaches allaitantes de race limousine (10 mères), une petite production de tabac et 2 ha de noyers en production.  Ces activités n’étaient plus viables sur de si petites surfaces, nous avons fait le choix de développer progressivement le verger de noyers et de créer un verger de châtaigniers.


8.6 ha de noyer 

De variété Franquette, Grandjean et Fernor





2.3 ha de châtaigniers

De variété Bouche-de-Bétizacmajoritairement, mais aussi Marigoule, Marsol, Bournette…

Diverses variétés sont dispersées dans le verger pour faciliter la pollinisation

Déjà largement présent au Moyen Age, le châtaignier se développe particulièrement durant les 18ème et 19ème siècles avec des châtaigneraies s’étendant sur plus de 40% de la surface de la Dordogne, du Lot, de la Corrèze et de la Haute-Vienne. 

Mais dès la fin du 19ème siècle, l’exode rural, les abattages massifs pour l’industrie des tanins, la concurrence avec les cultures céréalières et fourragères ajoutés à une maladie du sol provoquant le dépérissement des arbres, la chataigneraie connaitra un déclin important. 

En 1920, des mesures seront prises pour réglementer l’abattage pour la production de tannins et une recherche sera engagée pour luter contre le dépérissement du châtaignier. Des plants issus de nouvelles variétés seront alors attribués aux producteurs désireux de replanter. 

Le Périgord Limousin a bénéficié d’une relance de la production très importante au milieu du 20ème siècle, grâce notamment à des nouvelles variétés créées à cette époque. Depuis près de 30 ans, châtaigneraies traditionnelles et vergers plantés en ligne coexistent. Les fruits obtenus dans ces nouveaux vergers plantés de variétés sélectionnées sont de gros calibre et sont en majorité des marrons, plus rapides à peler. Les châtaigneraies traditionnelles, globalement en déclin, bénéficient depuis peu d’un regain d’intérêt et commencent à être réhabilitées pour partie.

Union interprofessionnelle de la châtaigne du Périgord Limousin

Lien vers http://www.marronduperigord.fr/





Le Périgord est certainement un des berceaux de la noix.
On retrouve en effet la Noix du Périgord, il y a 17 000 ans, dans les habitations de l'homme de Cro-Magnon et à l'époque azilienne dans un gisement de Peyrat à côté de Terrasson en Dordogne.
Sa valeur était telle que, déjà au Xe siècle, les paysans acquittaient leurs dettes en setiers de noix. En Périgord, au XIIIe siècle, les baux étaient versés en huile de noix à l'abbaye cistercienne du Dalon. L'huile de noix était considérée comme un bien aussi précieux que l'or.
C'est d'ailleurs l'huile de noix qui contribua tout d'abord à la fortune de la région.
Son utilisation fut multiple. Elle permettait d'éclairer les humbles masures ou les plus majestueuses cathédrales. Elle faisait le bonheur des peintres ou celui des belles qui se savonnaient le corps au savon mou.
En 1730, les trois-quarts des paysans n'utilisaient que celle-ci pour la cuisine.

Syndicat professionnel de la noix et du cerneau de noix du Périgord

Lien vers http://www.noixduperigord.com/accueil.html


Déjà largement présent au Moyen Age, le châtaignier se développe particulièrement durant les 18ème et 19ème siècles avec des châtaigneraies s’étendant sur plus de 40% de la surface de la Dordogne, du Lot, de la Corrèze et de la Haute-Vienne. 

Mais dès la fin du 19ème siècle, l’exode rural, les abattages massifs pour l’industrie des tanins, la concurrence avec les cultures céréalières et fourragères ajoutés à une maladie du sol provoquant le dépérissement des arbres, la chataigneraie connaitra un déclin important. 

En 1920, des mesures seront prises pour réglementer l’abattage pour la production de tannins et une recherche sera engagée pour luter contre le dépérissement du châtaignier. Des plants issus de nouvelles variétés seront alors attribués aux producteurs désireux de replanter. 

Le Périgord Limousin a bénéficié d'une relance de la production très importante au milieu du 20ème siècle, grâce notamment à des nouvelles variétés créées à cette époque. Depuis près de 30 ans, châtaigneraies traditionnelles et vergers plantés en ligne coexistent. Les fruits obtenus dans ces nouveaux vergers plantés de variétés sélectionnées sont de gros calibre et sont en majorité des marrons, plus rapides à peler. Les châtaigneraies traditionnelles, globalement en déclin, bénéficient depuis peu d'un regain d'intérêt et commencent à être réhabilitées pour partie.

Union interprofessionnelle de la châtaigne du Périgord Limousin

Lien vers http://www.marronduperigord.fr/